Et c'est ici qu'on rp ~

New York , la ville des contrastes ...

« RPG à New York City »

Il était une fois...
Aux States
Dans la " grosse pomme "

Le surnaturel n'est pas quelque chose de très commun de nos jours, alors s'il était avéré que vous n'étiez pas très normal, prenez garde, le KJB et le FBI serait tentés de vous attraper pour faire quelques expériences fort peu sympathique sur vous.

Comme vous le savez sans doute, New-York est une ville très contrastée et ses habitants vienne de la Terre entière. Mais tous n'est pas toujours tout blanc et tout noir. Entre les bas fonds de la ville où drogue et arme circule librement et où tout est régit par une lois du plus fort et les plus hautes sphères de la société ne fréquentant que les établissements les plus chic et portant des vêtements où la moindre jupe coûte dans les 3OOO$, il y a tout un monde.

Le surnaturel n'est pas quelque chose de très commun de nos jours, alors s'il était avéré que vous n'étiez pas très normal, prenez garde, le KJB et le FBI serait tenté de vous attraper pour faire quelque expérience fort peu sympathique sur vous.

Et puis, dans la rue, on est tous pareil... C'est ça qui fait la richesse de New-York !

Bon RP à tous ♥

Messages : 129 Date d'inscription : 02/09/2012

Tout ce monde, tout se brouhaha, toutes ces jambes qui se presse, tout ces klaxons. C'est vraiment immense comme endroit et il y a vraiment trop de monde ! D'accord, d'accord, ça ressemble à Manhattan, y a peut-être autant de personnes, mais quant on est né à Manhattan, on connait l'endroit par cœur, alors que là...
Déjà c'est un labyrinthe où les gens n'ont pas une seconde à vous accorder pour vous indiquer le chemin et si vous avez le malheur de les heurté, alors que vous êtes plus en galère qu'eux, ils vous balancent un flot d'insulte à la figure. Sauf que Troy lui ça le fait rire l'hypocrisie de ces gens, si dans le flots d'individus il roulait par mégarde sur le pied de quelqu'un, évidemment la personne totalement absorbé par son smartphone ou autre gadget se retournerai et préparerai ses insultes. Sauf que quand cette personne se retourne et ne fait face à personne et qu'elle se rend compte qu'elle doit baisser la tête pour vous voir, elle ravale ses injures et c'est même elle qui s'excuse mal à l'aise et perturbé. Alors oui, Troy ça l'amuse.
En plus, rien que pour traverser une route c'est toute une aventure ! Une masse de monde s’agglutine devant les bandes blanches du passage clouté et attend le passage du feu au vert, comme un coureur dans son starting-block. Alors toi tu leur demande pardon, pour qu'il te face une petite place, eux aussi ils sont prés à te dire que y a pas que toi qui es pressé, puis ils remarquent que t'es posé avec tes mains sur tes roues et ils s'écartent, en te regardant avec pitié. Toi t'aurais juste envie de leur balancer à la gueule "Qu'est-ce tu mattes ?", mais ce serait trop épuisant à la longue. Alors tu t'avances et quand le feu passe au vert, tu fais de ton mieux pour avancer avec le groupe d'inconnus et arriver de l'autre côté avant la fin du temps imparti.
Enfin arrivé dans un endroit moins noir de monde, Troy déplia sur ses genoux et pour la 10éme fois de la journée le plan qu'il avait de la ville. Cherchant désespérément le bureau où il était censé retrouver sa mère. Il soupira et se contorsionna pour chercher son téléphone au fond du sac qui était accroché au dossier de son fauteuil. Évidemment, cet imbécile d'engin s'était glissé au fond de son eastpack noir tagué.

New York ... Une des villes les plus connues du monde , la ville la plus peuplée des États-Unis , cette ville était et est toujours d'ailleurs riche en contraste . Cette ville dans laquelle de nombreuses personnes rêvaient voyager était plus que détester par une certaines personnes , Mineko .
Cette jeune fille tout droit sortit du Japon ne comprenait rien à cette ville , labyrinthe était un bien trop petit mot pour la désigner , mais ne connaissant pas d'autre mot , je n'utiliserai que celui-là pour dire que cette ville est tellement grande qu'il est dur de ne pas s'y perdre .
Toute cette foule , cette pression , ces bruits de klaxons etc ... Ce n'était pas supportable pour la jeune fille , elle sentait que sa tête allait la lâcher dans pas longtemps ... Elle posa une main sur son front et poussa un soupir , elle ne savait même plus où elle devait se rendre tellement elle avait marché , c'était trompé de chemin , devait faire marche arrière et tout le tralala . Cette ville , elle ne la sentait vraiment pas . Lorsqu'elle serait arrivée chez elle , elle ne sortira plus et passera le reste de son année chez elle , pas question de s'aventurer une nouvelle fois dans les rues de New York , ah ça non ! Lorsqu'on demande un peu d'aide on est ignoré comme si on était invisible , ou bien dévisagés comme si l'on était un monstre ... C'était peut-être le cas ? L'apparence de Mineko était comment dire ... Loin d'être banale et ne passait pas du tout inaperçue . La première chose que l'on remarque chez elle sont bien ses cheveux blancs et bouclés tombant jusqu'à environ ses fesses . Blancs ? Depuis quand peut-on avoir des cheveux blancs , mis à part si on a une maladie ? Mineko n'est pas une albinos bien que de nombreuses personnes le pensent , tu as tous les caractéristiques répondant à une enfant albinos : cheveux blancs , peau pâle et yeux rouges .
Bref , nous allons pas nous éterniser là-dessus . Tu traversais le passage piéton suivit de tout un groupe , te marchant presque dessus même . Une fois sur le trottoir d'en face , tu cherchais autour de toi un plan , bingo ! Elle s'y dirigea , heureuse d'en avoir trouvé un ... Sauf que Mineko ne savait pas lire un plan . Elle demanda alors à la première personne qu'elle vit près d'elle , ce fut un jeune garçon en fauteuil roulant .

- Excusez-moi ... Savez-vous lire un plan ? Cela ne s'entendait absolument pas qu'elle était japonaise et non pas américaine , chose très rare chez un touriste .

Messages : 129 Date d'inscription : 02/09/2012

Alors qu'il était toujours en pleine gymnastique dans l'assise de son véhicule à deux roues motrice à énergie musculaire, Troy, sur le point de chopper le vicieux petits appareil, se fit interrompre dans son exercice par une voix féminine lui demanda s'il était en mesure de déchiffré un plan. Évidemment, l'attention que son cerveau avait porté à l'interlocutrice l'avait déconcentré de son objectif primaire, attraper son téléphone. Il sentit la coque plastique du bout de ses doigts mais fut contraint à l'abandon. Agacé et pour le coup, avec un vrai air de New-Yorké, il leva ses yeux bleus vers la jeune fille en se posant une question, pourquoi faut-il qu'elle lui demande à lui ? Un invalide légèrement occupé. Dans le mouvement de tête qu'il avait fait pour que son regard arrive à la hauteur du visage de l'importune, il en avait profité pour l'observer de la tête aux pieds. Son portrait était pour le moins atypique, cheveux blancs bouclés et très long, yeux rouge peau pâle. On aurait dit un lapin nain, vous savez, ceux qui sont couleur neige avec des yeux sang et qui, d'après les dires des vendeurs, ne sont pas censé grandir mais qui finissent par peser 1kg1OO. Troy en avait un quand il était petit garçon. De temps en temps il le lâchait dans l'appartement qu'ils avaient dans Manhattan. Alors il lui courait après pour le rattraper. Depuis le lapin derrière lequel il courait est mort et les jambes qui le faisait courir aussi. Bref, après son analyse et son moment "souvenirs souvenirs", il daigna enfin lui adresser la parole ou plutôt lui retourner à son tour une question avec un soupçons d'exaspération dans la voix:
-Pourquoi ?

Ou étais-je ?Qui étais-je ?Le ciel n'avait plus la même couleur, il était toujours bleu mais..Il n'était pas aussi beau qu'avant. Je tentai de respirer, en contemplant le paysage qui s'offrais à moi.De nombreux bâtiments m'entouraient et les pas assourdissants de ces personnes qui couraient dans les rues ne me surprenais pas tant que ça.Oui, ils étaient exactement similaires à la ville que j'habitais :aussi fatigants que d'habitude et toujours aussi rapides.
De nombreuses personnes avaient des portables complètement démodés à la main, cela me surprenais assez.D'habitude, tout le monde avait le dernier portable qui venait de sortir, le..Mais attendez.Aucun adultes n'avaient un de ses journaux informatiques ennuyant et aucun enfant ne jouait au skate-volant.Ou étais-je bon sang ?A l'époque ou les voitures à essence existaient encore ?!

Ah oui.Je m'en rappelle maintenant.Mon nom est DIALY Kate.Mon plus grand rêve était de rencontrer ma mère, depuis mon enfance. Je la cherchais depuis la nuit de temps. J'ai même quitté mon père, mes amis et tous les autres membres de ma famille pour la retrouvé. D'ailleurs, celle là serait ma dernière tentative, si je ne la trouvais pas, je retournerais chez moi.
Je farfouillai dans ma poche, en cherchant mon téléphone à la main. Extrêmement fin et de taille moyenne, il était presque transparent et des informations sur ma ville natale y étaient écris là-dessus.Je regardai l'heure de mon portable, puis levai la tête en observant une gigantesque horloge fixée sur un grand bâtiment, devant moi.L'heure était similaire à la mienne.J'avais donc atterrit à New York.Je décidai par précaution de me cacher derrière un arbre, près d'une petite ruelle assez sombre.Je couru donc vers la destination désirée bousculer par des milliers de passants. Même dans le passé, cette ville était toujours aussi nul.Ce serait une autre histoire décevante que je raconterais à mon petit frère une fois rentré à la maison.

Je me cachai enfin derrière cet arbre, glissai mon index sur l'écran tactile de mon portable, puis tapai, légèrement, deux fois dessus.Une grande projection de lumière en sortit.Mon portable était en fait en train de projeter une image de mon New-York d'origine.Elle ne correspondait pas du tout au New-York ou je me trouvais, j'en conclus donc que je me situais très loin dans le passé.J'appuyai une seconde sur l'écran de mon portable, puis la projection disparu.Je rangeai mon portable dans ma poche.
Je finis par sortir de ma cachette, puis m'enfonçai une nouvelle fois dans la foule.En trottinant légèrement, je cherchai une personne qui pourrait me situer dans le temps.Je regardai vers la droite puis vers la gauche en cherchant quelqu'un d'assez aimable qui pourrait m'aider.Mais tout le monde était pressé.Comme d'habitude, personne n'essayait de faire attention aux pauvres personnes en détresses !Tous des égoïstes.
En laissant ma main s'emmêler dans mes cheveux chocolat moyennement long, je grognai furieusement en lançant un regard haineux au vide.Mon regard faisait plutôt peur à cause de mes yeux bleu claires un peu trop flashant.

Messages : 129 Date d'inscription : 02/09/2012

Levant les yeux au ciel, Troy tourna sur lui même d'un mouvement de bras répété des milliers de fois. Pas qu'il était pressé, mais s'il ne voulait pas se retrouver avec une aide-soignante collée aux bask', ou plutôt aux roues, il fallait qu'il trouve le gratte-ciel où travaillait sa mère. Il disparu facilement dans la foule, cherchant un endroit plus propice à son déplacement et où il pourrait se repérer. Parce que des tours de verres, à New-York, il y en a tout de même un sacré paquet...
A travers tous ces corps et toutes ces jambes, il discerna son salut. Une de ces nombreuses petites ruelles sombres et miteuse qui parcours la grosse pomme de toutes parts comme des galeries d'asticot. Celle-ci finissait en impasse, ce n'était pas bien grave, ça lui permettait de se poser, façon de parler, pour se repérer sur son plan à l'aide des informations qu'il avait pioché sur la grosse map de tout à l'heure.
Ah ! Il n'était plus loin de son objectif. Plus que un block ou deux et il parviendrai aux pieds de l'immeuble tant rechercher. Alors qu'il s’apprêtait à replonger dans le flot de gens, il entendit comme un bruit sourd. Son sac à dos, accroché aux poignée de son fauteuil, venait de tomber à terre. Dans un soupire, il joua de rotation de roue et de contorsion pour le ramasser. Un geste si simple à faire quand deux grosses roues en aluminium ne vous entraves pas tous vos mouvements. Une fois son le sac sur les genoux, il se faufila dans la foule. Quelques passants qui se cognèrent les talons aux barres glacés qui constituaient son fauteuil se retourné pour lui faire une remarque, remarque qu'ils gardaient pour eux dès qu'ils voyaient Troy. Voila que recommençait le bal des hypocrites... Bien qu'en fauteuil, il restait un être humain comme les autres et ces gens n'allaient pas lui faire croire qu'il avait autant de compassion pour tous le monde. Que ce soit cette blondasse outrageusement maquillé entrain de draguer un gars de 20ans son cadet, ce chef d'entreprise criant des insultes raciste au téléphone ou cette brunette aux yeux bleu qui papillonnait en trifouillant ses cheveux, ils étaient tous pareil. Il termina sa pensée en roulant à côté de cette dite brunette en se marmonnant à lui même : -Tous pareil..

Quelle frustration !Je n'arrêtais pas de crier complètement lassée depuis plus de 20 minutes "A l'aide, qui pourrait me renseigner s'il vous plaît ?",on aurait dit un disque qui n'arrêtait pas de se répéter.Mais toujours la même réponse.Ils me fuyaient en m'ignorant ro-ya-lement.Enfin si on pouvait appeler sa une réponse.
Le temps filait à toute vitesse et je ne savais toujours pas en quelle année j'étais.Le visage de mon petit frère, au bord des larmes à mon départ, m'apparut alors comme un flash dans ma tête.Il m'attendait.Cet idiot de père devait m'attendre aussi. Réussissaient-ils à se débrouiller sans moi ?Juan mon petit frère savait cuisiner, grâce à tout ce que je lui avais appris au sujet des tâches ménagères.Mais avec mon père comme seul chef de maison, j'étais quasi sûr qu'ils ne faisaient que bouffer des cochonneries.Et puis...
Non !
Il ne fallait pas que je pense à eux.Sinon j'allais me décourager, et rentrer chez moi sans n'avoir rien trouver.Maman devait rester ma première priorité.Je jetai alors mon regard océan vers la foule, déterminée.Maman...Si je ne la ramenais pas à la maison et que je revenais seule, tout ce que j'aurais accompli à présent, n'aurait qu'été éternellement inutile.Je me remis donc à mettre mes mains dans ma fontaine chevelue toute chocolatée, en les tortillant dans tous les sens.Je cherchai une solution, en examinant la foule endiablée qui était toujours aussi dense.C'était une habitude.Lorsque j'étais frustrée, je me pinçais la lèvre et enfonçais mes mains dans ma crinière ce qui faisait bouger dans tous les sens mes mèches brunâtres.En plus, selon Juan, ça me donnait une allure "pitoyable" et "comique" comme il avait l'habitude de le dire.C'était alors que je sentis une présence passer à côté de moi, puis perçus ensuite un murmure.
- Tous pareil.
C'était à coup sur un garçon, étant donné sa voix masculine.Ce que je confirmai intérieurement en me retournant vivement vers lui.J'aperçus de mes 1m80, un handicapé en fauteuil roulant.En fauteuil roulant ?!Ce gars était en fauteuil roulant ?À mon époque, il y avait des tas de machins pour éviter cet objet vieillot, des objets super-automatisés et "trop cool", comme criait souvent Juan.Ce garçon avait aussi les cheveux bruns, mais contrairement à moi, les siens tournaient plutôt vers du chocolat noir.Et je détestais ça, le chocolat noir.Mais bref.Il avait également les yeux couleur schtroumpf (encore comme moi) !Et les traits de son visage étaient, à mon goût, plutôt bien tracés (<---- toujours comme moi).
C'était alors que me vins une idée qui pétait littéralement tout.
J'écartai enfin mes mains de mes cheveux, et les plaçai sur mes hanches.J'interrompis ensuite le chemin qu'allait poursuivre le gars goût choco' noir, en me mettant devant lui pour qu'il ne puisse pas continuer sa route.Je fis un gigantesque sourire diabolique (qui ne sonnait pas trop diabolique d'ailleurs), et fis le "regard de la mort qui tuait tout sur son passage".Il marchait tout le temps sur papa et Juan, alors pourquoi pas maintenant ?Ça le forcerait peut-être à répondre à ma question .
J'articulai alors lentement, avec un air vraiment menaçant (sans trop l'être d'ailleurs) :
- On est en quelle année, toi ?Ne fuis pas comme les autres et répond à ma question sinon...SINON...Bref tu ne le sauras pas si tu réponds à ma question !
Bon d'un coup c'était vrai que j'étais plus trop crédible.Et que mon plan qui était censé tout péter, était pourris.Et que je faisais pas du tout peur.Et que finalement, il me trouverait bizarre et ne me répondrait pas.Parfois j'assurais comme une pro mais là...Pas moyen, j'avais tout foiré.
Je finis alors par entendre une petite fille qui me pointait du doigt, en demandant à une adulte qui lui tenait la main si "on avait le droit d'embêter les handicapés".De la colère commença à grandir intérieurement en moi, même si elle était encore contrôlable.J'avais demandé à quasiment tous les passants de m'aider, alors pourquoi pas à lui ?Sous prétexte qu'il était handicapé.Pitoyable.Le plus déconcertant, c'était que l'adulte qui était avec la petite, lui avait répondu que j'étais juste folle.Mes mains s'ouvrèrent d'un coup, et se refermèrent d'un coup sec.Le "regard de la mort qui tue tout sur son passage" venait de refaire surface.Mais sauf que là, s'en était vraiment un.Un vraiment terrifiant.Tellement que la petite fille se cacha derrière la grande personne avec qui elle était.Je fis un sourire en coin, beaucoup plus diabolique que tout à l'heure.Je me reconcentrai ensuite vers le gars choco' noir, même si mon visage laissait quand même apparaître un peu d'agacement.Je fronçai après curieusement les sourcils.Je voulais toujours la réponse à ma question !

Messages : 129 Date d'inscription : 02/09/2012

Après avoir marmonné, une grande ombre s'interposa entre lui et son objectif. Évidemment il dû s'arrêtait, analysa les chaussure de la personne, remontant son regard sur ses jambes puis ses hanches, une jeune fille apparemment, sa poitrine le lui confirma puis il observa son visage. C'était la fille aux cheveux cacaotés de tout à l'heure. Qu'est-ce qu'elle voulait avec son sourire ?
Troy, se 'posa', comme on peut se poser dans un fauteuil roulant ( en gros il croisa les bras ). La jeune fille l'interrogea, d'une question assez incongru. En quelle ... année nous sommes ? Puis elle le menaça pour je ne sais qu'elle raison avec je ne sais qu'elle supplice. Il allait lui demander si c'était une blague, une caméra caché, ou si elle revenait d'une fête un peu trop arrosée ayant eu lieu la veille au soir, mais à ce moment là il entendit une vois fluette et enfantine qui interrogea quelqu'un pour savoir si on avait le droit d'embêter un "handicapé". Le jeune homme se sentit bouillir de l'intérieur, il aurait bien voulut lui crier à cette petite qu'il était pas handicapé et à son hypocrite de mère qu'il était peut-être paraplégique mais pas sourd et qu'elle pourrait apprendre les bonnes manière à sa môme, c'est à dire traiter tous le monde pareil.
La jeune fille semblait s'impatienter, c'est vrai que Troy m'était un peu de temps avec ses réflexions intérieurs... Il prit un malin plaisir à répondre à la jeune fille pour montrer à la gamine, partit dans les jupons de sa mère, qu'"on avait le droit d'embêter les handicapés". La brunette avais un air un peu bizarre, m'enfin qu'est-ce qui était bizarre, lui avait bien perpétuellement une tête d'endeuillé. Il lui lança également un sourire de ses 50 centimètres en dessous d'elle, mais le sien était amusé de la question :
-Sinon il m'arrivera quoi ? Haha, je suis apeuré ! lança-t-il ironiquement mais d'un ton sympathique.Bon, j'ai vraiment pas envie de le savoir, si ça se trouve on risquerai de ma torturer en me chatouillant les pieds ! là, il se foutait un peu de sa gueule. On est en 2013, pourquoi ?
Il continuait de lui sourire poliment pour pardonner son temps de réponse.